17
Juin-2009

Le 16 juin, Maison, Qc Canada.

Canada   /  

Aujourd’hui, nous allons conduire Michel à l’aéroport.  Dommage, il ne sera plus là pour donner le rythme à l’expédition.  C’est toujours le premier près le matin, c’est toujours le premier à pédaler en avant.  Il est toujours de bonne humeur, sauf lorsqu’il change les chambres à l’air, on l’entend dire parfois un : « Nom de Yeu » qui me fait bien rire.  Mais je le cache, car ce n’est pas le moment de rire dans une telle situation.
Michel se prépare activement, il installe le porte-vélo et termine se bagages.  Je fais les miens, car notre départ est très tôt le lendemain.  Je termine les centaines de lavages que j’avais à faire.  Je ne suis pas comptable et les chiffres sont de la poésie!!!  Je termine les bagages de Marc-Antoine, et vérifie celui des plus jeunes.  Mais la journée passe vite.  Pierre est au travail, j’aurais tellement aimé qu’il prenne une journée de congé. Michel reçoit une invitation pour manger au restaurant et dès son retour à 3h00, nous partons pour l’aéroport.  A 6h00 nous y arrivons.  C’est bondé.  Il y a beaucoup de personnes et cela en est désagréable.  Heureusement tout ce passe bien.  Et Michel quitte le Canada avec plus de 900 kilomètres au cyclomètre de son vélo!  Il se promet de revenir, mais sans son vélo.  A la maison, c’est le branle-bas de combat!  Tout le monde s’affaire à leur sacoches vélo, aux graissages des chaînes, aux ajustements…  Il faut aussi charger la remorque, et faire les lunchs.  Le repas n’est pas fourni dans l’avion!  A 10h00, je suis exténuée et je vais au lit.  Les enfants, chacun leur tour, viennent me voir pour clarifies leurs interrogations…  mais trop tard, je suis dans les bras de Morphée, faute de ceux de Pierre qui travaille encore!
Michèle

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 goûts / Un commentaire
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  1. penoy michel /

    Je viens seulement de tomber sur les commentaires de cette dernière journée canadienne pour moi. Oui,ce fut épique: Pour mémoire :le vélo qui tanguait et risquait de tomber, les fuites pressantes de Marc Antoine,la lenteur des automobistes de Montréal ,cet aerodrome qui n’arrivait pas et l’aigre-douce de l’enrégistrement des bagages,je comprends que tu étais “chocolat”le soir .Enfin,que de souvenirs agréables.
    Encore merci.Avez-vous rencontré des maringouins dans les Rocheuses.?…Sans doute pas puisqu’il n’y avait pas de sang belge à sucer!!!. .

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